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novembre 2017

Les outils du plaquiste

Le plaquiste, un outil pour chaque tâche

Par leur facilité d’usage et leur technicité, les plaques de plâtre ont envahi les intérieurs de nos logements et des bâtiments tertiaires. Pratiques à installées, avec des techniques aujourd’hui bien abouties, intégrant des caractéristiques qui peuvent aller de l’isolation thermique, acoustique, à la protection anti-feu ou anti-effraction en passant par la résistance à l’eau ou au chocs, ces éléments de construction sont devenus des incontournables des constructions modernes.

De la préparation à la finition

Ce mode constructif a naturellement conduit au développement de pratiques de mises en œuvre spécifiques et la constitution d’un corps de métier dédié. Toutefois, au quotidien, on assiste à un partage des tâches selon que l’on touche au neuf ou à la rénovation, aux travaux de préparation ou à la finition, situation qui fait de ce travail de plaquiste une fonction pouvant être assurée par plusieurs corps d’état (cf. encadré).

Les outils de plaquiste, sujet de cet article, abordent l’équipement nécessaire à cette fonction, que l’on soit une grande entreprise ou un artisan travaillant seul. Comme indiqué en préambule, la fonction de plaquiste intègre deux grandes parties, avec dans un premier temps la préparation que l’on peut considérer comme une véritable spécialité, puis la finition qu’on inclue facilement dans les attributs du peintre. La préparation inclue l’installation des ossatures, la découpe des plaques, leur vissage sur les ossatures et enfin l’application de bandes de joint. La partie finition consiste essentiellement en l’enduisage des plaques. Différentes marques agissent sur ces marchés avec des spécialités propres. On peut citer ici pour les plus importantes Edma Outillage, Mob Mondelin, Sofop Taliaplast, L’Outil Parfait, Hyde (Théard)… auxquelles il faut rajouter des spécialistes de l’électroportatif pour tout ce qui est ponceuses et visseuses.

Des outils pour préparer le chantier

La solution la plus simple pour lister tous les outils nécessaires à la fonction de plaquiste est de suivre un chantier chronologiquement et de voir à chaque étape quels sont les outils utilisés. La première phase, une fois que les mesures sont effectuées pour bien savoir où positionner les ossatures devant recevoir les plaques de plâtre, est d’installer ces ossatures métalliques en les mettant à dimension et en les fixant d’une façon permanente. Ces éléments se divisent en montants verticaux en C sur lesquels sont vissées les plaques de plâtre et des rails et lisses en U que l’on positionne au sol et au plafond pour servir de supports aux montants verticaux. Il existe également des fourrures, déclinaisons des montants mais dans des épaisseurs moindres qui peuvent être utilisées dans certains cas donnés, par exemple pour placer des isolants qui sont déployés sur l’ensemble de la surface de la paroi, ou pour des installations de faible épaisseur installées sur des murs sains qu’il est inutile de tomber (faïence sur briquette, première installation en plaques de plâtre..).

Le travail débute avec la découpe de ces différents profilés métalliques à l’aide de guillotines dotées de matrices adaptées aux différentes formes. Ces machines présentent l’avantage d’effectuer rapidement et silencieusement des coupes nettes et sans bavure – à comparer avec le même travail exécuté avec une cisaille ce qui peut être fait, une grignoteuse, voire à l’extrême une meuleuse. Cette guillotine peut être plus ou moins évoluée selon le type de coupes à réaliser, des plus simples uniquement conçues pour les rails et montants de 48 mm plus les cornières, aux plus élaborées pouvant accueillir plusieurs matrices interchangeables pour couvrir tous les dessins de rails, montants et fourrures. A noter que les guillotines effectuent des coupes à froid qui préservent la galvanisation des profilés et préviennent ainsi les apparitions d’oxydation.

Pour fixer les profils

Une fois la mise à dimension des profils accomplie, les rails en U sont  fixés au sol et au plafond, souvent « spittés » par des cloueurs à gaz pour obtenir une vitesse de travail rapide avec un résultat impeccable en termes de tenue. Il est également possible de percer et d’utiliser des chevilles à frapper, mais c’est naturellement beaucoup plus long ; l’artisan doit arbitrer entre l’investissement en machine et la valeur de son temps de travail. L’utilisation d’un niveau ou d’un laser garantit l’horizontalité du montage.

Cette première phase achevée, l’artisan (ou l’entreprise) pose les montants verticaux tous les 60 cm en les emboitant dans les rails auxquels ils sont sertis par une pince spécifique. Cette pince doit développer un effort important pour déformer le métal avec son poinçon et avoir une mâchoire dont la forme permet de contourner les ailes des profils pour appliquer sa force sur un point bien précis où les deux pièces métalliques à sertir sont en contact. Ces outils ont évolué ces dernières années pour répondre aux demandes des artisans en termes de facilité d’emploi et de réduction des TMS. On peut ainsi citer chez Edma, le leader sur ce marché, les introductions d’une pince à une main avec crémaillère pour démultiplier l’effort appliqué et d’une pince à grand tête pour sertir les montants doublés dos à dos. Cette solution du sertissage a largement pris le pas sur toutes autres méthodes de liaison par vissage ou rivetage qui impliquent l’utilisation de consommables, ce qui n’est pas le cas pour le sertissage basé sur la déformation de la matière.

Pour transporter et préparer la plaque

Le squelette installé, il s’agit maintenant de fixer la plaque de plâtre. Nous allons ici prendre le parti de la transporter d’abord sur son lieu d’installation où elle sera ensuite travaillée et dimensionnée le cas échéant. D’une dimension standard de 1 200 x 2 500 mm, elle doit donc être amenée sur le chantier et l’outil le plus simple pour cette manutention est l’économique pince à griffe, sorte de trident dont l’axe central et un tube extérieur viennent bloquer la plaque tandis que le deuxième tube extérieur sert de poignée à l’artisan. Cette pince nécessite la présence de deux personnes pour le transport, une à l’avant et une à l’arrière de la plaque. Quand l’artisan est seul, ce qui arrive très souvent, la solution passe par l’emploi d’un support doté d’une poignée et d’une platine à positionner sous la plaque. L’effort est bien évidemment doublé pour le porteur, sans compter les problèmes d’équilibre. D’autres équipement existent tels des chariots permettant le transport de plusieurs plaques, notamment du camion jusqu’à lieu de travail, et même des monte-plaques à rouleaux pour des franchissements d’étages.

A destination, la plaque peut être utilisée en l’état ou être retaillée aux dimensions adéquates. Pour ce faire, il est possible d’utiliser un cutter à lame sécable, une scie à guichet dont la lame doit être adaptée à l’épaisseur du produit (plaque de plâtre avec ou sans isolant), ou un trusquin, système qui coulisse sur la tranche de la plaque – maintenue en équilibre par un dispositif de calage vertical – et dont les bras sont terminés par des molettes aiguisées de façon à couper la plaque d’une façon nette et régulière sur toute sa longueur. Pour l’isolant, qui peut être placé derrière la plaque entre les montants, une scie à la denture spécifique au matériau est préconisée.

Pour mettre en place la plaque

Une fois préparée, la plaque est positionnée pour être vissée sur les montants de l’ossature. L’artisan se sert alors d’une cale commandée au pied qu’il glisse sous la plaque tenue à bout de bras pour ajuster sa partie supérieure au plafond, son extrémité inférieure restant légèrement soulevée du sol – cet écart sera comblé par la suite par l’installation du sol, le plaquiste étant un des premiers à intervenir sur les chantiers au niveau du second œuvre.

Bien en place, la plaque est vissée avec une visseuse spéciale plaquiste (de plus en plus proposée sur batterie) pour les entreprises engagées sur les gros chantiers, typiquement les grandes entreprises travaillant dans le neuf pour la seule installation des plaques. Dans la rénovation, pour des raisons de coût, on emploie plus facilement des visseuses standard équipées d’un porte-embout spécifique ; la vis doit s’enfoncer très légèrement dans le plâtre avant d’arrêter sa course afin de ne pas détériorer le matériau, tout en pouvant dans un second temps être recouverte d’enduit de façon à former une surface uniforme. 

Cette opération réalisée, divers ajustements peuvent être requis, telles l’égalisation d’un angle droit avec un rabot ou des découpes en pleine plaque pour le passage de tuyaux et réseaux avec des scies à guichet ou scies cloches.

L’appui des lève-plaques

Un mot sur les plafonds qui demandent un équipement particulier. Pour installer les plaques de plâtre à l’horizontale, l’escabeau et l’aide d’un partenaire sont de rigueur pour les positionner avec l’appoint d’étais pour assurer l’ensemble. C’est une tâche délicate qui peut être facilitée par un équipement spécialisé plus efficace. Ainsi, les grandes entreprises travaillant dans le neuf sont souvent équipées de nacelles qui permettent de réaliser ces opérations d’une manière relativement simple, tout comme l’élévation des plaques pour les parois verticales de grande hauteur. En rénovation, même si c’est encore un marché de niche, nous assistons à des ventes soutenues en lève-plaques, matériels à mat télescopique et berceau inclinable qui permettent à une personne seule de positionner un plaque au plafond jusqu’à une hauteur de 4,5 m et d’atteindre presque les 6 mètres en position verticale avec une plaque de 2 500 mm de longueur. Ces équipements sont recherchés par les artisans qui travaillent seuls, voire les autoentrepreneurs, qui sont obligés de s’équiper pour réaliser leurs tâches correctement.

Pour jointoyer les plaques

Voilà, les parois sont en place et il faut maintenant rendre l’espace prêt à l’emménagement. La première chose à effectuer est de relier et rendre solidaire chaque plaque par des bandes à joint pour éviter les fissures. Ces feuilles de papier multi-perforées (ou calicots) d’une largeur standard de 50 mm sont encollées et positionnées à la jonction entre chaque plaque et ensuite revêtues d’enduit pour les unir totalement à leur support. L’application de l’enduit sur la bande est communément exécutée avec un couteau américain, outil assez rigide qui permet d’étaler fermement l’enduit sur des surfaces réduites ; ce couteau peut avoir une lame inox de 12/10 près du manche et de 6/10 son extrémité, ce qui est bien plus épais qu’une lame servant à l’enduisage. Ces outils intègrent communément un embout de vissage (voir un magasin d’embouts) à l’empreinte PH2, standard du métier, pour finir de tourner une vis qui ne serait pas suffisamment enfoncée dans la plaque et engendrerait des inégalités de planéité. Un ponçage vient achever cette étape pour éviter toute surépaisseur inutile au niveau des joints. Il existe des matériels, souvent portables, qui permettent d’automatiser l’encollage et la découpe des bandes à joint, voire même déposer de façon simultanée le joint et son enduit. 

A noter ici que les angles extérieurs doivent être renforcés à l’aide de cornières métalliques ou PVC spécialement conçues à cet usage dont les ailes se déploient sur de faibles épaisseurs pour être enduites sans problème, ou à défaut de papier armé mais avec un moindre résultat en termes de solidité. Plus la matière de la cornière est rigide et solide, meilleure sera la résistance aux chocs, sans compter l’aspect esthétique qui sera plus soigné.

Pour l’enduisage des plaques

Le chantier a maintenant cet aspect caractéristique de parois barrées des lignes verticales des calicots – voire horizontales lorsque des plaques sont superposées dans les grandes hauteurs. Il reste maintenant une tâche fondamentale, particulièrement épouvante pour les non-professionnels, à savoir l’enduisage qui va permettre d’éliminer la porosité de la plaque de plâtre avant la mise en peinture. On rentre ici plus dans le domaine du peintre que du plaquiste en tant que tel.

L’artisan utilise ici des couteaux à lame flexible, d’une façon générale en inox, qui permettent de bien étaler les enduits pour leur donner une uniformité la meilleure possible. D’une façon générale, il y a un premier enduit qui est appliqué et qui fait l’objet d’un polissage à la main – patin abrasif pour lequel le grain 120 est le plus utilisé – ou plus efficacement par une ponceuse à bras, autre équipement que les artisans travaillant seul font l’acquisition pour accélérer leurs chantiers. Un deuxième enduisage léger vient compléter cette dernière étape avant la livraison du chantier fini.

Dans ce domaine de l’enduisage, des innovations sont intervenues ces dernières années avec notamment la gamme ErgoLiss conçue par L’Outil Parfait qui combine entre autre choses une perche télescopique, des couteaux à lisser, des abrasifs et une lampe à leds rasante qui permet de distinguer immédiatement les défauts.

Une large panoplie d’outils

Cette chronologie, qui n’a pas pour objectif de décrire de façon exhaustive toutes les opérations qui peuvent être effectuées, permet toutefois de bien comprendre que les tâches comprises dans la fonction du plaquiste sont en définitive très variées puisqu’elles vont de la mécanique avec la partie ossature et installation des plaques jusqu’au domaine de la peinture avec l’enduisage et le ponçage. On comprend ainsi mieux la différenciation des tâches qui peut être appliquée par les grandes entreprises travaillant dans le neuf, et l’obligation d’être multitâche pour un artisan travaillant dans la rénovation, obligation qui le pousse d’ailleurs souvent à étendre cette multispécialisation à d’autres lots des chantiers. 

Au-delà, cette chronologie montre également la variété des outils qui doivent être utilisés dans la fonction de plaquiste. En ne s’arrêtant qu’aux matériels spécifiques à ce métier, on voit qu’un tel artisan doit préférentiellement être équipé d’une guillotine, d’une cloueuse, d’une ou plusieurs pinces à sertir, de pinces de transport, d’un trusquin (à défaut d’une scie ou d’un cutter), d’une cale, d’un escabeau, d’une visseuse plaquiste (à défaut d’un porte-embout), d’un rabot, d’un bac à enduire les bandes à joint et de divers couteaux et abrasifs. Ajoutons que s’il travaille les plafonds, il peut se contenter d’étais ou investir dans un lève-plaque et qu’il peut par ailleurs se doter d’une ponceuse à bras pour tous ses travaux de ponçage.

Un marché à exploiter

Tous ces matériels constituent un ensemble d’une belle valeur que les négoces matériaux se devraient de mettre en valeur dans leurs libres-services. Ce sont des vendeurs de plaques de plâtre tellement importants qu’ils devraient normalement occuper tout le marché de cet outillage dédié à la fonction plaquiste. Cependant, une partie des ventes d’outils se réalise en circuits grand public ou par d’autres circuits professionnels. Quoiqu'il en soit, quel que soit leur positionnement, les distributeurs bénéficient des innovations faites par les fabricants pour faciliter la tâche des artisans et répondre aux nouvelles contraintes des matériaux (pinces à sertir démultipliées, couteaux avec lames plus longues pour rouleaux d’isolant plus épais, lève-plaque à crémaillère…). Il y a du grain à moudre pour les vendeurs et des marges à faire pour la distribution. 

 FB

 

Des plaquistes pour le neuf, des multispécialistes en rénovation

Schématiquement, il est possible de séparer le marché en deux grandes familles avec d’un côté le neuf et de l’autre la rénovation. Dans le neuf, les chantiers sont d’une importance conséquente et les entreprises spécialisées dans ce lot plaquiste prennent usuellement en charge toute la partie préparation avec l’installation de l’ossature et des plaques sur ce support, ainsi que la mise en place des joints. La deuxième partie, qui concerne l’enduisage, est une tâche exigeante et à faible valeur ajoutée qui est confiée à d’autres intervenants venant essentiellement du monde de la peinture. Dans la rénovation, c’est un tout autre modèle qui se met en place. Les chantiers sont de moindre importance et on assiste de plus en plus à des artisans (ou des autoentrepreneurs) qui prennent en charge plusieurs lots, ce qui permet notamment aux clients de réduire le nombre d’intervenants. Les artisans sont multispécialisés et un peintre peut par exemple prendre en charge l’installation complète des plaques de plâtre, leur enduisage, la peinture, la pose du parquet, etc. Il y a de moins en moins de plaquistes purs.

​Edma Outillage
Lève-plaque EdmaPlac 450

Protégé par quatre brevets, le nouveau lève-plaque EdmaPlac 450 permet de monter les plaques de plâtre jusqu’à maximum 4,50 m de hauteur à l’horizontale grâce à sa rallonge intégrée et jusqu’à 6,25 m de hauteur à la verticale avec une plaque standard de 2,50 m, sa charge maximale étant de 80 kg. Cette opération de levage peut être effectuée à l’aide d’une visseuse électrique ou manuellement par un système à crémaillère qui démultiplie les efforts. Ce lève-plaque est équipé de trois roues, dont deux munies de frein, ainsi que de pieds repliables ce qui lui permet de franchir les portes et les obstacles sur le chantier. Sa plate-forme en bois peut sans problème faire office de marchepied.

 

Mob Mondelin
Lève-plaque Levpano Combi 450

Le lève-plaque Levpano Combi® 450 fabriqué par Mob Mondelin permet une pose horizontale jusqu’à 4,50 m de hauteur, verticale jusqu’à 5,90 m et sous rampants de plaques de 600, 900 m et 1 200 mm de large (grâce des sabots escamotables et réglables). Il est doté d’un guidon à deux manettes (pivotement à 90° de la poutre et des bras, basculement de la tête), d’un système de freinage intégré au treuil anti-retour, d’une sécurité à deux câbles (travail et antichute). Sa charge utile est de 80 kg, celle de sa plate-forme de 150 kg, et son chariot est équipé de trois roues Ø 160 mm.

​Flex
​Lève-plaque Eland

Le lève-plaque l’Eland® proposé par Flex est appareil autonome qui permet à une personne seule de poser sans effort une plaque de plâtre au mur jusqu’à 5,6 m de hauteur, sous plafond horizontal (4 m) et sous rampant (5 m). Elle est équipée d’un treuil actionné par une visseuse intégrée sur batterie 14,4 V 2,6 Ah d'une autonomie de 40 montées et descentes en charge. Ce treuil, qui permet de transformer l’Eland en monte-charge jusqu’à 100 kg, possède un système de sécurité en cas de rupture du câble et un débrayage automatique en cas de surcharge (au-delà de 125 kg de charge). Le chariot triporteur de l’Eland comporte deux grandes roues à l’avant, une petite roue directionnelle à l’arrière, et passe dans les encadrements de porte grâce à sa largeur de seulement 69 cm.

Bosch Professional    
Visseuse GSR 18 V-EC TE

Compacte (tête de 207 mm de long) et légère (1,3 ou 1,6 kg avec la batterie selon la version), dotée d’un moteur sans charbon avec protection électronique, la visseuse plaquiste GSR 18 V-EC TE pour vis de ∅ 4,2 mm maximum affiche une autonomie de 3 500 vissages avec une charge de batterie 18 V 4,0 Ah (1 700 vissages en 2,0 Ah). Elle est équipée d’une butée de profondeur démontable et peut intégrer l’accessoire MA55 pour un vissage en série – son interrupteur est blocable pour un travail en continu. Couple de 25 Nm et vitesse à vide jusqu’à 4 200 tr/min.

Hitachi    
Visseuse W 6VM

D’une puissance de 620 watts, la visseuse filaire réversible Hitachi W 6VM se caractérise par une vitesse particulièrement élevée qui à vide atteint les 6 000 tr/min. Sa capacité de vissage est de 6 mm pour des vis bois et plâtre, métal et pour des vis autoforeuses avec un couple de serrage maximal de 8,8 Nm, la profondeur de vissage étant réglable par butée. Cette visseuse légère, avec un poids de 1,4 kg pour une longueur de 294 mm, est dotée d’une poignée bi-matière, d’un large interrupteur, d’un crochet de fixation à la ceinture et d’un câble d’alimentation de 7,5 m de long.

Makita
Visseuse DFS 452RTJ

La visseuse sans fil pour plaques de plâtre DFS 452RTJ Makita, alimentée par une batterie li-ion 18 V 5,0 Ah, se caractérise par sa technologie ‘’pousse et visse’’ qui ne fait démarrer le vissage que lorsque la vis est en appui, et se traduit notamment par une diminution de la consommation d’énergie, une réduction du bruit et une moindre exposition aux TMS. Outre ce procédé, cette machine dont la vitesse à vide atteint les 4 000 tr/min bénéficie d’un moteur BL sans charbon, du système XPT limitant les infiltrations d’eau et poussières et d’un éclairage led. Sa capacité est de 5 mm en vis pour plaque de plâtre, 6 mm en vis autoforeuses.

Metabo 
Visseuse SE 18 LTX 6000

Dédiée à la fixation des plaques de plâtre, la visseuse sans fil de 18 volts SE 18 LTX 6000 Metabo, à batterie Ultra M 18 V 2,0 Ah garantie trois ans, peut être équipée du chargeur 25-55 pour bandes standard de 50 vis de diamètre de tige maximum de 5 mm (tête 9,5 mm). Cette machine de 1,3 kg batterie incluse intègre le système de vitesse électronique Vario, une butée de profondeur réglable (amovible), deux lampes éclairant la surface de travail. Couple de 5 Nm dans le bois tendre et vitesse à vide jusqu’à 6 000 tr/min.

Festool    
Visseuse DWC 18-4500 Li 5,2-Plus

La visseuse plaquiste sans fil DWC 18-4500 Li 5,2-Plus Festool, sur batterie 18 V 5,2 Ah, à moteur EC-TEC sans charbons, est dédiée à la fixation de plaques de plâtre sur des ossatures bois tendre ou métal par vis de longueur maximale de 55 mm (chargeur). Elle offre une profondeur de vissage précise, une grand longévité grâce à son arrêt électronique et bénéficie d’une garantie totale 36 mois. Son poids est de 1,9 kg avec butée de profondeur et de 2,3 kg avec le chargeur de vis. Couple maximale de 14 Nm et vitesse à vide jusqu’à 4 500 tr/min.

MDB Profil    
Profilé Micromesh 0113

Revêtu aluzinc (65% aluminium et 35% zinc) et doté d’ailes de 32 mm de large en métal déployé à très fines mailles, le profilé Micromesh 0113 certifié CSTBat proposé par MDB Profil est utilisé pour la protection des angles sortant formés par les plaques de plâtre. Se posant en quelques secondes sans fixations ajoutées à l’aide de l’outil dédié Clinch On qui scelle l’angle de la cornière dans l’angle de plâtre à protéger au rythme d’un poinçonnage tous les 20 cm, ce profilé ensuite revêtu en deux couches d’un enduit mince permet d’obtenir une qualité de finition élevée avec une mise en œuvre aisée et rapide. Disponible en 2,45 m, 2,75 m et 3,05 m de longueur.

Théard
ac encolleur Pingoo

Le bac encolleur pour bandes à joints Pingoo, d’un poids de 7 kg et facilement transportable sur chantier, permet d’encoller et de coller les bandes à joint d’un seul geste. Son châssis, qui intègre deux marches striées antidérapantes latérales pour augmenter la hauteur de travail d’une quarantaine de centimètres, est en aluminium tandis que son bac amovible est en polycarbonate et PVC (nettoyage rapidement au jet).

 

 

Fein 
Visseuse ASCT 18 M

Conçue pour le vissage de vis de ∅ 4,2 mm et de 25 à 55 mm de longueur pour la pose de cloisons sèches, y compris les plaques de plâtre haute densité et renforcées fibre, la visseuse plaquiste ACST 18 M Fein sur batterie 18 V 5A.0 Ah peut réaliser plus de 2 300 vissages en série par charge. Légère (2,2 kg avec la batterie), maniable et équilibrée, cette machine dispose d’un arrêt silencieux et sans vibrations avec le débrayage Clic-Stop, d’une poignée spéciale Fein Sensitive, d’une butée de profondeur réglable et facile à changer, d’un magasin résistant à la poussière et amovible sans outil. Couple de 14 Nm et vitesse à vide jusqu’à 4 000 tr/min.

Sofop Taliaplast
Coffret de six couteaux de plaquistes

​Sofop Taliaplast propose de nombreux outils d’enduisage pour les professionnels. Dans cette gamme, l’offre proposée dans son coffret de couteaux de plaquiste inox comprend six modèles dont trois de type américain. Ceux-ci, de dimensions 10, 12 et 15 cm, ont une lame en inox poli à chant rayonné pour obtenir une meilleure qualité de finition. Les trois couteaux à enduire, de dimensions 16, 20 et 24 cm, ont une lame en inox écroui d’une épaisseur de 0,5 mm enserrée dans une monture renforcée en fibre de verre offrant une grande rigidité. Ces différentes lames ont des bords à 90° pour faire les angles et tous les couteaux sont pourvus d’un manche ambidextre en bi-matière surmoulé.

 

L’Outil Parfait    
Ergo Liss

Pour les travaux de finition, la gamme Ergo Liss développée par L’Outil Parfait comprend des couteaux de plaquistes pour enduire les joints des plaques de plâtre, de lames Parfait Liss pour lisser les enduits plus une perche pour travailler en hauteur, des cales à poncer avec leur perche aspirante (reliée à un aspirateur) et la lampe rasante à leds – également avec sa perche – qui, plaquée au mur, permet d’identifier immédiatement les défauts.

 

 

BMC Diffusion
Encolleur Bazooka Marshalltown

Relié à une pompe à enduit, le Bazooka Marshalltown by Columbia distribué par BMC Diffusion est un outil permettant l’application automatique des bandes pré-enduites (bandes papier et enduit) sur les plaques de plâtre jusqu’à une hauteur de travail de 3 mètres en conservant une grande régularité d’application et une excellente qualité de finition. Cet outil léger fabriqué en acier inoxydable et aluminium est complété par plusieurs accessoires (réserve d’angle, finisseur d’angle, finisseur à plat, sabot à vis, rouleur d’angle, divers manches dont des modèles télescopiques).

Diam Industries    
Ponceuse ELS225.1

La ponceuse longue portée Diam Industries ELS225.1 pour le ponçage des grandes surfaces en parois et plafonds comporte un arbre de transmission flexible (amovible), un joint robuste qui s’adapte à l’angle d’inclinaison du plateau de ∅ 225 mm, des articulations montées sur ressorts, un capot d’aspiration et peut être équipée d’une rallonge pour aller augmenter la hauteur de travail jusqu’à environ 3 mètres. Elle bénéficie d’un démarrage progressif, de la protection électronique de surcharge et du système VacuGlide qui utilise la force d’aspiration pour réduire le poids ressenti de la machine en action.