Saint-Gobain Surface Solutions France

La RSE, un moteur de croissance

Toutes les activités de Saint-Gobain sont engagées dans les objectifs de réduction de l’empreinte carbone du groupe. Saint-Gobain Surface Solutions France est pleinement impliquée dans cette logique, avec des objectifs adaptés à ses métiers. La démarche est bien concrète, tant au niveau de l’éco-innovation, des usines, de la chaîne d’approvisionnement et vise à impliquer tous les salariés. Ces investissements contribuent également à aider les clients du groupe dans leurs propres objectifs de décarbonation de leur activité.

La réduction de l'empreinte environnementale du groupe est, on le sait, un enjeu majeur pour Saint-Gobain qui a pris l’engagement d’atteindre zéro émission nette de carbone d’ici 2050, avec des objectifs précis à atteindre dès 2030. Et ce n’est pas le climat politico-économique actuel qui va inciter l’entreprise spécialisée dans la production, la transformation et la distribution de matériaux à lever le pied. Le groupe va allouer en moyenne 100 millions d’euros par an en R&D et en dépenses d'investissement d’ici à 2030 pour mener à bien cette ambition de Net Zero Carbone en 2050. Les efforts sont sur tous les fronts et bien mesurables : fin 2024, le groupe Saint-Gobain a annoncé avoir diminué son empreinte carbone scope 1 et 2 de 34% en valeur absolue par rapport à 2017, ce qui correspond à l’objectif 2030 atteint avec six ans d’avance

Une implication de l’ensemble des BU

Comme l’ensemble des Business Units du groupe, Saint-Gobain Surface Solutions France (Norton, Flexovit, Norton Clipper en France) est engagée dans la démarche. « Saint-Gobain fait partie de la Climate A List établie par le CDP (Carbone Disclosure Project), c'est-à-dire que le groupe est dans le top 2% des entreprises qui ont des feuilles de route alignées avec les objectifs de l’Accord de Paris sur le Climat. Mais la Classe A du groupe Saint-Gobain, c'est aussi une classe A pour Saint-Gobain Surface Solutions France, qui doit adapter la feuille de route à ses applications » explique Juliette Slootman, ingénieur R&D, économie circulaire et recyclage des matériaux chez Saint-Gobain Surface Solutions France. Pour rappel, le CDP, organisation non gouvernementale à but non lucratif, publie des données sur l'impact environnemental de près de 23 000 entreprises parmi les plus importantes. « L’ensemble des BU doivent donc chaque année rapporter au groupe sur les moyens mis en oeuvre pour atteindre les objectifs » poursuit-elle. « Au-delà des objectifs du groupe, nous avons effectivement notre propre démarche pour atteindre le niveau de performance requis dans notre activité. Juliette nous a rejoint en tant que spécialiste et coordinatrice de nombreuses démarches liées à l’environnement » se félicite Cyril Piffault, directeur commercial pour la partie distribution professionnelle, qui regroupe les activités MRO (fournitures industrielles, après-vente automobile et construction).

Après avoir travaillé dans le Centre de recherche transversal de Saint-Gobain à Aubervilliers (93), Juliette Slootman a rejoint la division Surface Solutions fin 2024 avec pour mission de développer des solutions plus responsables et des boucles de valorisation, en intégrant les enjeux clients, les impératifs industriels et l’éco-innovation. « Je suis en charge de développer toutes les boucles liées à l'économie circulaire, trouver des solutions de valorisation pour nos déchets usines, mais aussi les solutions de collecte et de recyclage pour nos produits en fin de vie, et le développement de produits avec contenu recyclé. ».

Des progrès annuels

Alignée donc sur les ambitions du groupe, la feuille de route « pour un développement plus durable » de Saint-Gobain Surface Solutions France s’appuie sur cinq piliers pour...